jeudi 10 mars 2011

Sans valeur pour les hommes

“Reviens au Seigneur, à ton Dieu, car si tu
es tombé, c'est l'effet de ta faute.” Osée 14.2

Qu’est-ce qui empêchent
souvent des gens honnêtes et justes de reconnaitre leurs fautes ? Des idées
fausses auxquelles ils croient, même dans le domaine spirituel.
Mais enfin
pourquoi je me répète ; Dieu a trop d’amour pour moi pour permettre à ces
conséquences d’empirer. Mais je me sens coupable jusqu’à la moelle, je n'arrive
pas à comprendre comment je suis arrivée à me vautrer sans mépris dans un sorte
de contentement surnaturel.
Dieu voulait-il m’avertir, ou me blesser
seulement, ou bien m’encourager à cesser de pécher, je n'ais rien d'autre en
réponse, mon résonnement n'est peut être pas faux. Dieu n’a t-Il pas compassion
de moi, la mise sous discipline et rude, mais motivante, je rentre dans mon
désert seule sans savate, j’ai mal sa brûle, je souffre.
Le fait que je
commette ce péché, ah oui vous me demandez quel péché, "forniquer" biensur cela
ne m’empêche pas de servir Dieu, pourtant je suis mise à l'écart comme un
vulgaire fruit pourrit qui va contaminer les autres.
Je ne comprends plus
rien, d’autres biens plus malhonnêtes que moi, servent Dieu pour faire les
écrits de notre société.
Je sais que 95% pratique ce même péché, ils sont
vite mit sur les rails du service, car ce sont des hommes, dans tout les pays du
monde c’est bien connut qu’ils ont le droit de forniquer, d’avoir des maîtresses
pour leur équilibre, de prendre la femme de son meilleur ami, etc…. mais voilà
la femme qui dit oui à un tel homme devient une trainée, c’est fort du café ou
est la vrai impudicité.
Ce n’est pas vraiment un péché pour les hommes,
c’est juste un trait de sa personnalité contre lequel il lutte n'est-ce pas, en
d'autre terme, pardonnons le, et aidons le à s’en sortir.
La femme n'a pas
le droit de baisé sa culotte hors mariage c’est bien on le sait, j’ai enfin
compris la partie sectaire de l'évangile.

Mais voilà mon péché, avait
affecté mon efficacité. Aujourd’hui, je regarde la vérité en face, et je
regrette le mensonge, la tromperie, qui a su frapper à ma porte, et qui a trouvé
l’ouverture facile, la haine voudrait me retenir prisonnière. Satan reste le
plus grand des menteurs

Etre accusé à tort, m'avait fait perdre toute
estime de moi, ma peine était grande. Dès l’instant j'ai sentie le poids de mon
âme me rendre coupable, me vautrant encore plus dans la boue de mon péché
pendant presque 1an. Manque de pardon, l’incompréhension, le rejet, m’a rendu
distante, et très prudente, donc je n’avoue rien je constate, le malheur des
femmes c’est de dire oui.

Je me suis tourné vers Dieu, je me suis sentie
repoussé, enfin non je vais me faire comprendre le manque de pardon me faisait
sentir Dieu loin de moi, et j’ai été abasourdie, Satan reste un menteur.


Les épreuves douloureuses ne sont que les conséquences de la
désobéissance, pas part choix mais bien de la vie désordonnée que nous avons
sans discerner l'ordre divin. Il y a toujours une cause un acte déposé, un début
et une fin, soit foireuse, soit triste, soit unique, soit plein de justice ou
d’injustice, soit heureuse ou malheureuse.
Le tort c’est d’y avoir cru à ces
mensonges, j’ai enfin compris « Eve » elle y avait CRU

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