Nous plaindre sans cesse ne fait qu’exprimer à haute voix notre manque de foi
en notre intelligence. Nos belles confessions de foi capacité du passé ne comptent
plus et nous tournons ainsi le dos aux bénédictions que le créateur aurait
voulu nous offrir.
Se plaindre engage bien davantage que de simples mots. C’est d’abord une
affaire de pouvoir : Nous plaindre ne fait que nous ancrer dans un passé que
nous ne pouvons changer. Nous continuons à en fouiller les restes en
décomposition, cherchant à tout prix le pourquoi de tous les événements tandis
que notre présent nous file entre les doigts sans rien nous apporter.
C’est aussi une affaire de relations avec les autres. Nous plaindre sans cesse
empoisonnera toutes les relations que nous entretenons avec les autres.
Nos jérémiades encourageront les autres à faire de même ! Un peu de poison
dans les veines infecte vite tout le corps. Peu à peu vos amis, notre famille,
notre lieu de travail, l’église que nous fréquentons, tout notre environnement,
en seront infectes. Et quelques uns disparaîtront loin de nous ou nous
éviterons tout simplement.
En nous plaignant tout temps nous accordons un pouvoir exagèré aux autres
personnes qui entoure notre vie. Et surtout favorisant les circonstances qui
nous affectent. Nous devenons leur victime ou leur souffre douleur, avec leur
moquerie. Nous perdons peu à peu notre capacité́ à chercher et à trouver des
solutions. Nous conditionnons notre esprit à n’envisager que des issues
négatives et nous cessons de prêter attention aux idées créatrices que nous
nous voudrions nous inspirer. Il est inconcevable de pouvoir créer et se
plaindre en même temps.
“Est-ce que la même source fait couler de l'eau douce et de l'eau amère ?
Est-ce qu'un figuier peut donner des olives ? Est-ce qu'une vigne peut donner
des figues ?” (Jacques 3.11-12).
Nous plaindre à longueur de journée fera éventuellement fuir loin de nous tous
ceux qui détestent le stress, l’anxiété, et les propos négatifs. Qui ont assez
de leur vie poussiéreuse eux même condamner, rajouter serait un mal pour un
autre mal, alors dosons nos racles, pour ne pas pousser trop et cracher nos
poumons sur les autres.
Cela peut se répartir sur la vie, pour nous autant que pour nos proches !
Répétons allons arrête de te plaindre, demain il fera à nouveau jour, et tu
verras plus clair dés que tu auras accepté ton épreuve. Alors tu auras la
réponse au problème qui aura peut être une tout autre signification. Mieux vaut
donc allonger l’attente d’une réponse que d’empoisser l’atmosphère de juron et
autre superlatif déplaisant à nos oreilles. Une mauvaise haleine n’est agréable
pour personne.
Je dirai vois ce que les autres ne voit pas pour avoir une avance sur tes
soucis et tes projets avec le temps seront plus réussie.
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