vendredi 11 mars 2011

Dostoïevski a dit :

    Dostoïevski  dit..........
      « Lorsque nous mentons, nous
foulons aux pieds le respect que nous devons à autrui et que les autres
devraient avoir pour nous. Et quand nous cessons de respecter les autres, nous
en venons très vite à laisser libre cours à nos plus vils instincts et à
rechercher les pires formes de plaisir. » Aussi faites que votre vie devienne
un exemple pour les autres !


Si l'angoisse vous étreint

   Si l'angoisse vous étreint
 
Je viens de finir un super livre sur l'angoisse et ces contraintes de "Bob Gass" célèbre écrivain Chrétien que j'affectionne pour cette belle déduction de la vie, voilà ce que je voudrais partager avec vous sur ce merveilleux livre j'ai fait une synthèse de tout ce que j'ai retenu
dans ce livre. "L'angoisse"


1; L'angoisse ressemble à une goutte d'eau qui tombe dans notre esprit avant d'y
creuser peu à peu son lit jusqu'au jour où toutes nos pensées se mettent à
couler dans ce courant destructeur.

La plupart de nos angoisses peuvent être classées en trois catégories :

2: L’angoisse devant l'inévitable comme l'âge, l'infirmité, la retraite, la
solitude, l'insécurité financière, les accidents, la maladie, la perte d'un
être cher et la mort.

3: L'angoisse devant les impératifs de la vie comme prendre des décisions,
entamer ou mettre un terme à une relation, perdre du poids, changer de
profession, commettre des erreurs.

4: L’angoisse qui révèle notre état d'esprit, dévoilant nos sentiments face à
notre capacité à régler les problèmes. Par exemple, la crainte d'être rejeté
risque d'influencer toutes les relations qui jalonneront votre vie. Par crainte
de souffrir, nous nous mettons à éviter les rencontres avec les autres, notre
monde se réduit comme peau de chagrin et les occasions de nous épanouir
s'évanouissent peu à peu. Nombre de nos angoisses peuvent se résumer à un doute
implanté en nous qui se traduit par l'éternelle question : « Et si je n'en
étais pas capable ? » Notre esprit est le champ de bataille où se décide la
victoire ou la défaite. Demandons-nous par conséquent : « Serais-je toujours
aussi angoissé si j'étais certain de pouvoir gérer n'importe quelle éventualité?

» La réponse est non, bien sûr. Quand nous sommes sûrs de pouvoir régler tout
problème quel qu'il soit, l'anxiété cesse de nous tétaniser et de nous voler
notre joie.

Je vous entends d'ici vous récrier :« Mais c'est un peu trop facile ! »
L'univers tout entier est soumis à une loi que l'on pourrait appeler celle de
la « mécanique des hauts et des bas ». Selon cette loi notre énergie, nos
émotions et notre créativité évoluent constamment comme sur des montagnes
russes, avec leurs creux et leurs sommets. Parfois, nous nous sentons pleins
d'enthousiasme et d'énergie, comme si nous nous trouvions sur le sommet d'une
haute montagne, tandis que l'instant d'après il nous semble que la montagne
nous est tombée dessus ! Heureusement, que nous soyons au sommet ou au creux de
la vague, cette loi demeure active, pour notre plus grand bien. Arrêtons un
instant de nous mettre des angoisses là il ne faut pas la nouvelle année doit
être différente pour notre moi car c'est celle que tout monde voient.

Quittons les ceintures de l'angoisse qui nous serre et nous empêche d'avancer,
dans la direction que Dieu ou la vie à déjà établie pour nous. Ouvrons-nous à
la grâce ou la chance marche loin des angoisses, et bien c'est possible si on
n’aime pas se regorger. D’angoisse.


 

Repeindre notre cœur

            Sous l’influence de notre vie vivons caché pour
être heureux, pas d'accord avec ce slogan.

Nous pouvons essayer de cacher sous notre mur repeint en blanc tout notre
mauvaise humeur, nos mauvaises habitudes, notre mauvais caractère, nos
manquements, notre caractère boudeur et belliqueux acariâtre, dangereux, notre
richesse, notre bonheur.
Nous pouvons porter un T-shirt arborant un logo de notre appartenance quel soit
chrétienne ou païenne, même porter une grosse Bible sous le bras, sourire à
tous le monde comme un ressuscité, avoir le plus beau des voyages et prétendre
que nous sommes l’être le plus heureux du monde, mais au fond de nous les
mauvaises habitudes attendent le moment propice pour resurgir, surtout lorsque
les difficultés s'amoncelleront sur notre chemin.

Il est si facile de se comporter en Pharisien du XXIème siècle, en se
concentrant sur une paroi bien blanche et propre, et en ignorant les marques
sales qui se cachent dessous.
Nous vivons au sein d'une société obsédée par l'apparence extérieure, et nous
savons très bien qu'il est très dangereux de se concentrer sur l'apparence
plutôt que sur la réalité de la vie l'être intérieur.
Comment donc se prémunir contre ce danger?
En étant soi-même dans tout sa vérité, reconnaitre ces erreurs, ce demander
pardon, ce vêtir de joie en permanence en écoutant de la musique ou faire
quelque chose qui nous fait sourire, et avancer, pour tourner la page car sans
cela en fait du surplace et nous nous enfonçons dans la haine et le désordre,
qui nous rendra aigris et sans assurances pour se préserver des coups de la
vie. Car nous pourrons passer devant des choses merveilleuses que seul un cœur sans
haine peut recevoir, ce qui avait de beau pour notre vie nous échappera.

Bannissons de notre âme des choses stupide et vil qui remplie notre être, et
changeons notre cœur par une simple autocritique c’est très bon pour notre
moral. Ne pas repeindre le mur de notre cœur sans avoir au préalable su la nettoyer
car c'est sur ce mur que nous renvoie les infos de notre mal être.

Pour vivre bien, vivons libre de nos émotions.

Est-il raisonnable d’aimer ?

Voilà à quoi j’ai passé ma journée sur un de
mes livres sur « comment aimer sans souffrir » un bouquin qui m’a laissé vide
et sans réponse, et pleins de réflexions. Pour celui qui voudrait le lire c’est
un livre biblique consacré à l’étude de l’amour pour dieu et l’être humain, ne chercher
pas, je l’ai mise à ma sauce.


Voilà ce que je lis :« L’amour est un mélange
subtil de sentiments et de raison, qui ne doit pas céder aux aveuglements de la
passion. Il n’est pas donc pas déraisonnable d’aimer tant qu’on ne se laisse
pas aveugler par la passion ». Je vous donne des réflexions, qui me turlupinent
depuis une semaine, entre la raison humaine et l’inconditionnel de l’amour.


Je ne sais pas si c’est la raison qui me conduit à aimer l’autre pour ces mérites.
Lorsque nous disons « Je t’aime, est un sentiment, ou de la passion pure ou est-ce que je fais appel également à la raison ? Faut-il réfléchir pour bien aimer ?

Dans mon livre « Descartes » dit« Il faut
considérer les mérites de l’autre lorsque l’on aime, et ne pas se laisser
aveugler par la passion qui nous pousse parfois à aimer ses défauts ».

Pour « Aristote » aussi dit que c’est la
raison qui nous permet d’apprécier ses qualités humaines morales ou intellectuelles.


Mais l’Amour, dans les limites de la raison, est la passion la plus raisonnable et nécessaire qui soit pour l’être humain. » J’aime parce que je suis passionné de l’élément qui me conduit à être déraisonné. Humm sur certaine réalité, car quand la conscience et l’intellect se rencontre ou se manifeste enfin, ne trouvons nous pas tout d’un coup ce que nous supportions d’alors devient insupportable et inutile. L’inconditionnel ou le conditionnel, n’a t-il pas les mêmes attraits, le même plaisir, le même désir, mais aussi la même souffrance.

Donc l’amour est un subtil mélange de sentiments et de raison.
Si profiter de nos passions aussi violentes quel soit destructrice.
Convient à l’amour, conçu entre deux êtres deux cœurs, pourquoi
ne devient-il pas constructif et raisonnable. « Comme si tu m’aimes tu ne peux
me demander des choses qui seraient contraires à notre amour ». Forçons-nous la
main ou le cœur à faire des choses contraires aux respect porté sur l’amour ?
Où avons-nous toujours des options schématiques dans nos gênes pour conduire
notre vie amoureuse à la rupture ?


Est le prix considérable à payer pour être aimer en retour. » Please Don’t give up on me ».
Ou s’opposer à l’amour est plus raisonnable ou déraisonnable, l’homme étant un
être faite de désir, faudrait il taire nos désirs comme les religieux ou
croyant, ou la société les considères comme des aliènes de dieu qui souffre
plus qu’il ne tire de sa passion pour leur dieu. Nous entendons ils sont
malades à refouler leur amour pour donner à un dieu qui n’existe pas ou qu’ils
ne voient et n’entendent. Ou est la liberté, puisqu’il fait souffrir celui qui
aime, même un amour partagé pourquoi souffrons nous aussi sinon plus ?


On pourrait prendre tout les romans ou poèmes du monde on relire, les mêmes aptitudes apparaissent, la souffrance l’intolérance de l’être au loin, toujours le même rythme la douleur d’aimer le désir
d’être au loin, ou le désir de l’autre inconditionnel, qui se donne, ou pas.

Ou jouer dans la même cour, ou qui traverse notre vie, proche bien heureux, ou au
loin, même peu.
Pourquoi l’amour ne résiste pas à l’épreuve
du temps, puisqu’il peut parfois se transformer en haine, n’est ce pas là la
cruauté du cœur d’aimer ?


Peut-on compter sur l’amour fou incontrôlé
irrésistible ? N’est il pas par définition immodéré, totalement impérieux.
Pourquoi les tumultes, l’ivresse, l’excès, l’enivrants, laisse t-il place aux
torrents de larmes, de désespoir, d’amertume, de haine, de violence verbal ou
tactile, doivent ils avoir leur part dans cet amour inconditionnel.

Pourquoi s’accommode t’on du feu de l’amour du désir, et respirer la douleur, la
souffrance dans sa chair. Perdre la raison est il raisonnable ou est il déraisonnable d’aimer de désirer ?


L’homme a t il sa part de responsabilité,peut il refuser ou nier l’unité, le réconfort,
la protection, qui l’élève dans sa dignité, son choix d’aimer plus ou moins,
ou doit il rester aveugle, et tourmenter, de peur de recevoir le moins qui détruit,
et qui ne console que l’autre, « la raison ». Doit-on payer chèrement les inconvénients ?

Ou faut-il se détacher de l’emprise de la passion, pour atteindre l’indifférence,
l’insoumission, qui nous permettra de profiter des biens superflus exigeant de l’amour.

Je vous laisse méditer, car moi
j’ai essayé les deux je n’ais pas trouvé la solution, l’amour de l’homme, ou l’amour de dieu, reste inconditionnellement la même souffrance, ou est donc la grande liberté d’aimer.

Que veut dire Libre d’aimer ?

Jean Jacques Rousseau : dit« Nos passions sont les principaux instruments de
notre conservation : c’est donc une entreprise aussi veine que ridicule de vouloir les détruire. »




Compromis

Avant de considérer ce que
signifie accepter un compromis honnête, soyons clairs sur ce que nous devons
refuser!

Nous ne devons jamais compromettre notre foi, notre personnalité, ni nous
accommoder de la médiocrité, sous prétexte que nous avons peur des critiques ou
parce que nous sommes trop impatients.

Accepter un compromis honnête c’est apprendre à négocier un résultat heureux
pour chacun d’entre nous.
Il est beaucoup plus facile de rejeter l’autre en disant qu’il a tort, et sans
prendre le temps d’essayer de comprendre son point de vue.
Pourtant il est essentiel de mettre de côté son amour propre et d’essayer de se
mettre à sa place pour ressentir les sentiments qui peuvent être les siens.

Si notre personnalité et nos opinions sont trop fortes, pour accepter les
différences, nous devenons un dictateur mentaliste, qui à tout prix par la
manipulation doit donner sa version des choses et rien d'autre, alors nous
risquons d’aliéner ceux que nous voulons toucher, hors le plus besoin. Et nous
risquons d’en souffrir et longtemps.

La vie est une source de bénédiction et de bienfaits même avec les divergences
d'opinions, et si on doit accepter ceux qui nous entourent, faisons le avec la
conviction, qu’ils pourraient nous apporter quelque chose que nous avons pas,
ou que nous connaissons pas, ou même que nous aurions besoin plus tard, car
nous ne savons pas de quoi demain sera fait.

Mais pouvons ne pas accepter des compromis négatif à notre vie, comme certaine
relation, qui ne nous fait pas nous élever, mais juste nous anéantir, ou nous
rendre moins active à notre évolution.


Donnons un exemple simple : Puis-je vous donner un exemple, qui vient de mon
expérience « merci » Je parlerai volontiers avec une personne qui boit souvent,
et qui sait se présenter ou se vendre devant un public, j'en ferai pas mon
ennemie, mais j’en ferai pas non plus mon ami c'est certain, car je sais que
mes valeurs sur l’amitié doit m’emmener en avant pour me construire.

Et avoir un ami alcoolique n’est pas dans mon attitude de cœur. Mais je ne le
condamnerai pas pour autant.
Cela veut dire que je le conseillerai, sur ce que je ne considère bien pour
lui, je parlerai d'arrêter l'alcool, je donnerai la clé pour ce soigner, je l'orienterai vers une structure qui pourrait l'aider, car la solution doit venir de nous, oui ce n'est pas chose facile, mais il y a des possibilités d'en sortir, et j’aurai servi à quelque chose dans sa vie.
Mais si cette personne ne veut rien entendre, et se détruit, il ou elle est
responsable de sa vie, et nous aurions au moins planté la graine de la raison
point, si elle pousse tant mieux.
Nous sommes tous sur terre pour être le mentor de quelqu’un.

Avoir le choix de faire des amis, ou des connaissances c’est tout à notre
honneur, nous sommes tous frères et sœurs, ou cousins éloignés, à une
condition, que cela nous apporte, vers une manifestation heureuse de notre moi
dans notre vie. « Pour ceux qui croient être la race qui ne se mélange pas ou
la meilleure, donner moi la couleur de votre sang.

Choisissons nos relations d'amitié, pour nous élever, on a tous besoin de
quelqu'un de plus fort ou de plus instruit que nous ou de plus sage que nous, ou d'un plus petit que soit pour nous valoriser ou pour s'adonner de notre savoir nos acquis, ou d'un Dieu tout puissant qui nous dirige  homme ou femme à besoin d'être un moment donné dans sa vie, réconforté, dirigé, aimer, poussé, puissant, considérons que chaque personne a une clé que nous avons besoin pour ouvrir d'autre porte, vers notre horizon. Il y a toujours quelqu'un qui détient une clé que nous n'avons pas.
Faisons toute même attention aux faux serruriers. Il y on a plus que l'on ne le pense.