Voilà à quoi j’ai passé ma journée sur un de
mes livres sur « comment aimer sans souffrir » un bouquin qui m’a laissé vide
et sans réponse, et pleins de réflexions. Pour celui qui voudrait le lire c’est
un livre biblique consacré à l’étude de l’amour pour dieu et l’être humain, ne chercher
pas, je l’ai mise à ma sauce.
Voilà ce que je lis :« L’amour est un mélange
subtil de sentiments et de raison, qui ne doit pas céder aux aveuglements de la
passion. Il n’est pas donc pas déraisonnable d’aimer tant qu’on ne se laisse
pas aveugler par la passion ». Je vous donne des réflexions, qui me turlupinent
depuis une semaine, entre la raison humaine et l’inconditionnel de l’amour.
Je ne sais pas si c’est la raison qui me conduit à aimer l’autre pour ces mérites.
Lorsque nous disons « Je t’aime, est un sentiment, ou de la passion pure ou est-ce que je fais appel également à la raison ? Faut-il réfléchir pour bien aimer ?
Dans mon livre « Descartes » dit« Il faut
considérer les mérites de l’autre lorsque l’on aime, et ne pas se laisser
aveugler par la passion qui nous pousse parfois à aimer ses défauts ».
Pour « Aristote » aussi dit que c’est la
raison qui nous permet d’apprécier ses qualités humaines morales ou intellectuelles.
Mais l’Amour, dans les limites de la raison, est la passion la plus raisonnable et nécessaire qui soit pour l’être humain. » J’aime parce que je suis passionné de l’élément qui me conduit à être déraisonné. Humm sur certaine réalité, car quand la conscience et l’intellect se rencontre ou se manifeste enfin, ne trouvons nous pas tout d’un coup ce que nous supportions d’alors devient insupportable et inutile. L’inconditionnel ou le conditionnel, n’a t-il pas les mêmes attraits, le même plaisir, le même désir, mais aussi la même souffrance.
Donc l’amour est un subtil mélange de sentiments et de raison.
Si profiter de nos passions aussi violentes quel soit destructrice.
Convient à l’amour, conçu entre deux êtres deux cœurs, pourquoi
ne devient-il pas constructif et raisonnable. « Comme si tu m’aimes tu ne peux
me demander des choses qui seraient contraires à notre amour ». Forçons-nous la
main ou le cœur à faire des choses contraires aux respect porté sur l’amour ?
Où avons-nous toujours des options schématiques dans nos gênes pour conduire
notre vie amoureuse à la rupture ?
Est le prix considérable à payer pour être aimer en retour. » Please Don’t give up on me ».
Ou s’opposer à l’amour est plus raisonnable ou déraisonnable, l’homme étant un
être faite de désir, faudrait il taire nos désirs comme les religieux ou
croyant, ou la société les considères comme des aliènes de dieu qui souffre
plus qu’il ne tire de sa passion pour leur dieu. Nous entendons ils sont
malades à refouler leur amour pour donner à un dieu qui n’existe pas ou qu’ils
ne voient et n’entendent. Ou est la liberté, puisqu’il fait souffrir celui qui
aime, même un amour partagé pourquoi souffrons nous aussi sinon plus ?
On pourrait prendre tout les romans ou poèmes du monde on relire, les mêmes aptitudes apparaissent, la souffrance l’intolérance de l’être au loin, toujours le même rythme la douleur d’aimer le désir
d’être au loin, ou le désir de l’autre inconditionnel, qui se donne, ou pas.
Ou jouer dans la même cour, ou qui traverse notre vie, proche bien heureux, ou au
loin, même peu. Pourquoi l’amour ne résiste pas à l’épreuve
du temps, puisqu’il peut parfois se transformer en haine, n’est ce pas là la
cruauté du cœur d’aimer ?
Peut-on compter sur l’amour fou incontrôlé
irrésistible ? N’est il pas par définition immodéré, totalement impérieux.
Pourquoi les tumultes, l’ivresse, l’excès, l’enivrants, laisse t-il place aux
torrents de larmes, de désespoir, d’amertume, de haine, de violence verbal ou
tactile, doivent ils avoir leur part dans cet amour inconditionnel.
Pourquoi s’accommode t’on du feu de l’amour du désir, et respirer la douleur, la
souffrance dans sa chair. Perdre la raison est il raisonnable ou est il déraisonnable d’aimer de désirer ?
L’homme a t il sa part de responsabilité,peut il refuser ou nier l’unité, le réconfort,
la protection, qui l’élève dans sa dignité, son choix d’aimer plus ou moins,
ou doit il rester aveugle, et tourmenter, de peur de recevoir le moins qui détruit,
et qui ne console que l’autre, « la raison ». Doit-on payer chèrement les inconvénients ?
Ou faut-il se détacher de l’emprise de la passion, pour atteindre l’indifférence,
l’insoumission, qui nous permettra de profiter des biens superflus exigeant de l’amour.
Je vous laisse méditer, car moi
j’ai essayé les deux je n’ais pas trouvé la solution, l’amour de l’homme, ou l’amour de dieu, reste inconditionnellement la même souffrance, ou est donc la grande liberté d’aimer.
Que veut dire Libre d’aimer ?
Jean Jacques Rousseau : dit« Nos passions sont les principaux instruments de
notre conservation : c’est donc une entreprise aussi veine que ridicule de vouloir les détruire. »